Le projet Remember apporte de nouvelles pistes pour comprendre le trouble de stress post-traumatique © Inserm
Une nouvelle étude scientifique conduite par Pierre Gagnepain et ses collaborateurs au sein de l’étude Remember, met en évidence l’importance de la plasticité des mécanismes cérébraux pour faire face au trauma. L’article publié mercredi 8 janvier dans Science Advances montre que les mécanismes permettant de contrôler sa mémoire se transforment avec le temps, permettant ainsi de réduire l’état de stress post-traumatique et ses effets négatifs sur le cerveau.